[Mme Necker] avait, disait-on, transformé sa maison en un temple. Galiani lui-même n'y entrait qu'en composant son attitude. Je serai froid et poli comme une assiette de Mme Geoffrin vis-à-vis de Mme Necker, écrivait-il à Mme d'Épinay après une brouille ; je ne veux plus avoir avec elle que des rapports de chancellerie ; voilà comme je punis le froid maintien de la décence.
Suzanne Curchod